Agir en tant que professionnelle ou professionnel héritier, critique
et interprète d’objets de savoirs ou de culture dans l’exercice de ses fonctions.

                        

La lecture : un élément incontournable dans l’apprentissage de l’élève

                             Compétence 1

 

Lors d’une de mes vacances d’été, j’ai décidé d’avoir comme activité principale la lecture. Durant ces vacances, j’ai lu plusieurs livres. Parmi les livres que j’ai lus, il y a un qui m’a particulièrement marqué. Il avait comme titre : des livres pour Nicolas. Dans ce livre, il s’agissait de la famille de Nicolas qui avait décidé de tout lui enseigner que par la lecture. Chaque fois qu’un membre de la famille constatait que Nicolas ne savait pas faire quelque chose, elle lui donnait un livre qui enseignait à le faire et le conseillait fortement de lire le livre à fin de savoir comment faire cette chose (exemple : comment se brosser les dents, comment nouer les lacets des chaussures, comment laver son chien, comment aller à vélo, etc.), car personne ne prenait le temps de lui apprendre quoi que ce soit. À la fin, Nicolas est devenu un bon lecteur, un bon chercheur et le meilleur élève de son école en français.

Après la lecture de ce livre, j’ai compris qu’il est très important d’emmener l’élève à être autonome. J’ai vu combien c’est important de laisser l’élève chercher seul et comprendre. J’ai compris qu’avant que l’élève ne trouve ce qu’il cherche, il apprend plusieurs choses. Dans le cas de Nicolas. Il était obligé de lire les livres pour apprendre les choses importantes de la vie, mais cela a fait développer en lui la routine de lire un livre pour connaitre quelque chose. Il a développé l’amour de la lecture. En plus, le fait de lire chaque fois lui permis d’enrichir son vocabulaire et de développer la fluidité dans son langage. C’est une des stratégies que je vais souvent adapter pour développer la routine de lecture chez mes futurs élèves. Comme dit une expression française

« C’est en forgeant qu’on devient forgeron » en d’autres termes « c’est par l’exercice que l’on acquiert la compétence. Pour acquérir véritablement un savoir faire, il faut le pratiquer et non pas connaitre seulement la théorie».

jeu.

11

août

2016

La nouvelle grammaire et l’autonomie de l’élève dans l’acquisition des connaissances

Compétence 4

 

Avant de faire le cours DDL 5735 (l’écriture et sa didactique au préscolaire et au primaire), j’avais tendance à faire retenir les règles d’orthographe aux élèves. Car je n’arrivais pas à trouver une stratégie efficace de faire comprendre les règles de grammaire aux élèves. Depuis que j’ai fait le cours didactique de l’écriture dans lequel j’ai appris à faire faire des manipulations syntaxiques aux élèves, faire la dictée du jour et la dictée « zéro faute », je me sens très bien outillée maintenant pour enseigner l’écriture à mes futurs élèves et j’ai hâte d’aller mettre les stratégies que j’ai apprises dans ce cours dans mon prochain stage.

 

Les contenus importants du cours 6  qui m’ont touché sont les notions de langue, les activités réflexives et la situation d’écriture.

  Dans la partie « notions de langue », l’élève apprend d’abord à faire des manipulations syntaxiques pour trouver le GN, le GV, aussi faire des accords dans une phrase. L’élève découvre aussi des règles grammaticales. En suite, les activités de réflexion, comme la « dictée phrase du jour » sont proposées à l’élève pour qu’il mette en pratique les processus de manipulations syntaxiques afin de bien écrire les mots de sa phrase. La discussion faite par l’enseignant et les élèves au sujet de la validation de l’orthographe d’un mot nous renvoie au triangle didactique. Pour finir, l’enseignant soumet l’élève à une situation d’écriture pour qu’il réinvestisse toutes les stratégies de manipulations syntaxiques qu’il a apprises à l’étape de la correction de son texte. Durant toutes ces manipulations, l’enseignant guide l’élève, modélise les manipulations, valide le travail fait par l’élève.

         La nouvelle grammaire une discipline qui permet à l’élève de savoir où il va et comment il va. Elle permet à l’élève de faire des manipulations dans la phrase pour trouver le GN et le GV. Les manipulations syntaxiques permettent à l’élève de bien faire ses accords dans la phrase. Elles rendent l’élève actif et autonome dans la rédaction de ses textes, car dans la nouvelle grammaire, l’élève travaille aussi la reprise de l’information et la cohérence du texte. Elle développe la capacité de juger, aussi la capacité de reconnaitre les bonnes et les mauvaises constructions des phrases.

       Dans mon prochain stage, je ferai toujours la « dictée phrase du jour » chaque jour et lors de mes contrôles hebdomadaires, j’utiliserai la méthode « dictée zéro faute ».

 

 

Artéfacts

S.G. Chartrand. (1996). Pour un nouvel enseignement de la grammaire. (2e édition). Montréal : Éditions logiques.

 

 Ministère de l’Éducation. 2001. Programme de formation de l’école québécoise. Éducation préscolaire, enseignement primaire. Ministère de l’Éducation.

1 commentaires

mer.

10

août

2016

La démarche active de découverte

Avant de faire le cours DDL 5735 (l’écriture et sa didactique au préscolaire et au primaire), j’avais tendance à faire retenir les règles d’orthographe aux élèves. Car je n’arrivais pas à trouver une stratégie efficace de faire comprendre les règles de grammaire aux élèves. Depuis que j’ai fait le cours didactique de l’écriture dans lequel j’ai appris à faire faire des manipulations syntaxiques aux élèves, faire la dictée du jour et la dictée « zéro faute », je me sens très bien outillée maintenant pour enseigner l’écriture à mes futurs élèves et j’ai hâte d’aller mettre les stratégies que j’ai apprises dans ce cours dans mon prochain stage.

 

 

 

Les contenus importants du cours 6  qui m’ont touché sont les notions de langue, les activités réflexives et la situation d’écriture.

 

  Dans la partie « notions de langue », l’élève apprend d’abord à faire des manipulations syntaxiques pour trouver le GN, le GV, aussi faire des accords dans une phrase. L’élève découvre aussi des règles grammaticales. En suite, les activités de réflexion, comme la « dictée phrase du jour » sont proposées à l’élève pour qu’il mette en pratique les processus de manipulations syntaxiques afin de bien écrire les mots de sa phrase. La discussion faite par l’enseignant et les élèves au sujet de la validation de l’orthographe d’un mot nous renvoie au triangle didactique. Pour finir, l’enseignant soumet l’élève à une situation d’écriture pour qu’il réinvestisse toutes les stratégies de manipulations syntaxiques qu’il a apprises à l’étape de la correction de son texte. Durant toutes ces manipulations, l’enseignant guide l’élève, modélise les manipulations, valide le travail fait par l’élève.

 

         La nouvelle grammaire une discipline qui permet à l’élève de savoir où il va et comment il va. Elle permet à l’élève de faire des manipulations dans la phrase pour trouver le GN et le GV. Les manipulations syntaxiques permettent à l’élève de bien faire ses accords dans la phrase. Elles rendent l’élève actif et autonome dans la rédaction de ses textes, car dans la nouvelle grammaire, l’élève travaille aussi la reprise de l’information et la cohérence du texte. Elle développe la capacité de juger, aussi la capacité de reconnaitre les bonnes et les mauvaises constructions des phrases.

 

       Dans mon prochain stage, je ferai  toujours  la « dictée phrase du jour » chaque jour et lors de mes contrôles hebdomadaires, j’utiliserai la méthode « dictée zéro faute ».

 

 

 

 

 

Artéfacts

 

S.G. Chartrand.(1996). Pour un nouvel enseignement de la grammaire.(2e édition). Montréal : Éditions logiques.

 

 

 

 Ministère de l’Éducation. 2001. Programme de formation de l’école québécoise. Éducation préscolaire, enseignement primaire. Ministère de l’Éducation.

 

               L’enseignant qui m’a le plus marqué!

 

Compétence 12, 1, 6, 4

 

Quand j’étais en troisième année du primaire, j’ai eu un enseignant qui m’a beaucoup marqué. Quand j’ai choisi de faire la formation d’enseignante, c’est parce que je voulais lui ressembler, c’est-à-dire être aussi gentil avec mes élèves, les aimer et faire d’eux mes « amis » et non un « bourreau » pour eux. Cet enseignant m’a marqué de par sa façon de fonctionner et de se comporter vis-à-vis des élèves qui lui étaient confiés.

 

La première chose qui m’a marqué sur cet enseignant est la douceur qu’il avait envers les élèves. Il ne levait jamais la voix pour gronder les élèves, mais il était très ferme dans ses décisions. Quand un élève se comportait mal, il le prenait à part et lui montrait ce que son acte pouvait engendrer comme conséquences dans ses études, son avenir et dans l’avenir des autres élèves. Il amenait l’élève à comprendre à quel point un acte peut changer l’avenir d’un enfant.

 

Une autre chose que j’ai aimé de cet enseignant c’est qu’il m’a appris à être ponctuelle et assidu dans toute chose que je m’engage à faire dans la vie. Monsieur Olivier m’a aussi appris à bien faire les choses parce que j’aime les faire et non parce que je vais avoir un salaire ou une récompense. Il aimait toujours dire « fais un travail parce que tu aimes le faire et non parce que tu es contraint de le faire ». Il était passionné de l’enseignement, il aimait enseigner et il aimait tous ses élèves. Olivier trouvait toujours les mots et les stratégies qu’il fallait pour faire comprendre aux élèves les notions qu’il devait les enseigner. Il avait de très bons liens avec ses élèves. Tous les élèves de l’école rêvaient d’avoir Olivier comme enseignant.

 

Olivier m’a tellement marqué que je voudrais être comme lui avec mes futurs élèves. Je vais faire de l’enseignement une période de détente où j’aurai beaucoup de plaisir avec mes élèves et non un calvaire où je passerai les journées à regarder les aiguilles d’une montre attendant impatiemment la fin de la journée. Ma salle de classe sera un « paradis » dans lequel tous mes élèves aimeraient passer leur journée. La relation que j’aurai avec mes futurs élèves leur donnera le goût de se lever tous les matins et surtout l’envie d’aller à l’école, car, par ma propre expérience, j’ai vu à quel point l’attitude de l’enseignant peut influencer l’avenir de ses élèves. Je voudrais être cette enseignante-là qui va influencer ou marquer positivement mes élèves, car je serai toujours là pour chacun d’eux. Ils seront mes « amis », je les motiverai, je les écouterai, je serai accessible pour chacun d’eux, je serai juste envers chacun d’eux. Les apprentissages se feront dans une ambiance de respect réciproque.

 

           

 

Artéfact

 

http://www.sp-mc.com/qualites-d-un-enseignant-devoue/ http://www.francoisguite.com/2007/09/quest-ce-qui-fait-un-bon-professeur/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’enseignement de l’univers social par la stratégie expérientielle.

Compétences 1-2-3

Lors de mon cours DDM410E, j’ai eu à expérimenter la stratégie expérientielle avec les élèves lors de l’activité-école que nous avons faite durant la session. Les membres de mon équipe et moi avons décidé de faire découvrir aux élèves ce qu’est un jardin communautaire. L’activité s’est déroulée en trois étapes : la préparation des élèves (en classe), la phase exploratoire (visite du jardin) et le réinvestissement (l’après-visite, en classe). J’ai été agréablement surprise par l’implication des élèves à cette activité. Ils voulaient tous tout savoir et tout comprendre. Cela m’a amené à comprendre que l’approche expérientielle  est l’une des meilleures approches pour enseigner l’univers social et je compte beaucoup l’utiliser dans ma future pratique enseignante. Je dépose ce travail ci-dessous comme artéfact à ce billet.

SAÉ DDM 410.pdf
Document Adobe Acrobat 652.8 KB